le fantôme de canterville résumé chapitre 2

Personnene reste très longtemps au Manoir de Canterville En effet, tous les soirs depuis plus de 300 ans, un terrible fantôme erre dans les couloirs à la recherche d'humains à effrayer ! Jusqu'au jour où s'installe la famille Otis : des humains pas effrayés du tout. Entre les moqueries des parents et les plaisanteries des enfants qui s'amusent à lui jeter des Retrouveztout ce que vous devez savoir sur le livre L'Eventail de Lady Windermere / Lady Windermere's fan, édition bilingue de de Oscar Wilde : résumé, couverture, notes et critiques des membres Kifim. avec Créer un compte | Se connecter Films. En VOD. Sur Netflix. Sur Primevideo. Sur Disney+. Sur Apple Tv. Sur Mubi. Trouver des films. Films Lapremière intégrale illustrée en langue française. Ce beau livre regroupe l'intégrale des œuvres d'Oscar Wilde (1854-1900), à l'exception de ses contributions de critique littéraire. Auteur prodige, déjà célèbre pour ses mots d'esprit lorsque paraît, en 1881, son premier recueil de vers, il écrit des contes pour ses enfants ( Le Lefantôme de Simon de Canterville fait de son mieux pour terroriser une famille américaine récemment installée dans un manoir anglais. Mais la famille Otis n'est nullement effrayée par le spectre, ni par les squelettes, ni par les bruits de chaînes la nuit, ni par les éclats de rire () Librairie Stephan. MENU. No products in the cart. Me Connecter. Conted’effroi décalé, Le fantôme de Canterville est une nouvelle écrite par Oscar Wilde, publiée pour la première fois en 1887. Ministre américain et père de famille nombreuse, Hiram B. Otis décide d’acheter le grand manoir de Canterville Chase, malgré les avertissements du Lord Canterville de la présence d’un esprit errant nonton live up to your name bioskopkeren. 403 ERROR The Amazon CloudFront distribution is configured to block access from your country. 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Otis, le ministre d'Amérique, fit l'acquisition de Canterville-Chase, tout le monde lui dit qu'il faisait là une très grande sottise, car on ne doutait aucunement que l'endroit ne fût hanté. D'ailleurs, lord Canterville lui-même, en homme de l'honnêteté la plus scrupuleuse, s'était fait un devoir de faire connaître la chose à M. Otis, quand ils en vinrent à discuter les conditions. — Nous-mêmes, dit lord Canterville, nous n'avons point tenu à habiter cet endroit depuis l'époque où ma grand'tante, la duchesse douairière de Bolton, a été prise d'une défaillance causée par l'épouvante qu'elle éprouva, et dont elle ne s'est jamais remise tout à fait, en sentant deux mains de squelette se poser sur ses épaules, pendant qu'elle s'habillait pour le dîner. Je me crois obligé à vous dire, M. Otis, que le fantôme a été vu par plusieurs membres de ma famille qui vivent encore, ainsi que par le recteur de la paroisse, le révérend Auguste Dampier, qui est un agrégé du King's-Collège, d'Oxford. Après le tragique accident survenu à la duchesse, aucune de nos jeunes domestiques n'a consenti à rester chez nous, et bien souvent lady Canterville a été privée de sommeil par suite des bruits mystérieux qui venaient du corridor et de la bibliothèque. — Mylord, répondit le ministre, je prendrai l'ameublement et le fantôme sur inventaire. J'arrive d'un pays moderne, où nous pouvons avoir tout ce que l'argent est capable de procurer, et avec nos jeunes et délurés gaillards qui font les cent coups dans le vieux monde, qui enlèvent vos meilleurs acteurs, vos meilleures prima-donnas, je suis sûr que s'il y avait encore un vrai fantôme en Europe, nous aurions bientôt fait de nous l'offrir pour le mettre dans un de nos musées publics, ou pour le promener sur les grandes routes comme un phénomène. — Le fantôme existe, je le crains, dit lord Canterville, en souriant, bien qu'il ait tenu bon contre les offres de vos entreprenants impresarios. Voilà plus de trois siècles qu'il est connu. Il date, au juste, de 1574, et ne manque jamais de se montrer quand il va se produire un décès dans la famille. — Bah ! le docteur de la famille n'agit pas autrement, lord Canterville. Mais, monsieur, un fantôme, ça ne peut exister, et je ne suppose pas que les lois de la nature comportent des exceptions en faveur de l'aristocratie anglaise. — Certainement, vous êtes très nature en Amérique, dit lord Canterville, qui ne comprenait pas très bien la dernière remarque de M. Otis. Mais s'il vous plaît d'avoir un fantôme dans la maison, tout est pour le mieux. Rappelez-vous seulement que je vous ai prévenu. Quelques semaines plus tard, l'achat fut conclu, et vers la fin de la saison, le ministre et sa famille se rendirent à Canterville. Mrs Otis, qui, sous le nom de miss Lucretia R. Tappan, de la West 52e rue, avait été une illustre belle de New-York, était encore une très belle femme, d'âge moyen, avec de beaux yeux et un profil superbe. Bien des dames américaines, quand elles quittent leur pays natal, se donnent des airs de personnes atteintes d'une maladie chronique, et se figurent que c'est là une des formes de la distinction en Europe, mais Mrs Otis n'était jamais tombée dans cette erreur. Elle avait une constitution magnifique, et une abondance extraordinaire de vitalité. À vrai dire, elle était tout à fait anglaise, à bien des points de vue, et on eût pu la citer à bon droit pour soutenir la thèse que nous avons tous en commun avec l'Amérique, en notre temps, excepté la langue, cela s'entend. Son fils aîné, baptisé Washington par ses parents dans un moment de patriotisme qu'il ne cessait de déplorer, était un jeune homme blond, assez bien tourné, qui s'était posé en candidat pour la diplomatie en conduisant le cotillon au Casino de Newport pendant trois saisons de suite, et même à Londres, il passait pour un danseur hors ligne. Ses seules faiblesses étaient les gardénias et la pairie. À cela près, il était parfaitement sensé. Miss Virginia E. Otis était une fillette de quinze ans, svelte et gracieuse comme un faon, avec un bel air de libre allure dans ses grands yeux bleus. C'était une amazone merveilleuse, et sur son poney, elle avait une fois battu à la course le vieux lord Bilton, en faisant deux fois le tour du parc, et gagnant d'une longueur et demie, juste en face de la statue d'Achille, ce qui avait provoqué un délirant enthousiasme chez le jeune duc de Cheshire, si bien qu'il lui proposa séance tenante de l'épouser, et que ses tuteurs durent l'expédier le soir même à Eton, tout inondé de larmes. Après Virginia, il y avait les jumeaux, connus d'ordinaire sous le nom d'Étoiles et Bandes, parce qu'on les prenait sans cesse à les arborer. C'étaient de charmants enfants, et avec le digne ministre, les seuls vrais républicains de la famille. Comme Canterville-Chase est à sept milles d'Ascot, la gare la plus proche, M. Otis avait télégraphié qu'on vînt les prendre en voiture découverte, et on se mit en route dans des dispositions fort gaies. C'était par une charmante soirée de juillet, où l'air était tout embaumé de la senteur des pins. De temps à autre, on entendait un ramier roucoulant de sa plus douce voix, ou bien on entrevoyait, dans l'épaisseur et le froufrou de la fougère le plastron d'or bruni de quelque faisan. De petits écureuils les épiaient du haut des hêtres, sur leur passage ; des lapins détalaient à travers les fourrés, ou par-dessus les tertres mousseux, en dressant leur queue blanche. Néanmoins dès qu'on entra dans l'avenue de Canterville-Chase, le ciel se couvrit soudain de nuages. Un silence singulier sembla gagner toute l'atmosphère. Un grand vol de corneilles passa sans bruit au-dessus de leurs têtes, et avant qu'on fût arrivé à la maison, quelques grosses gouttes de pluie étaient tombées. Sur les marches se tenait pour les recevoir une vieille femme convenablement mise en robe de soie noire, en bonnet et tablier blancs. C'était Mrs Umney, la gouvernante, que Mrs Otis, sur les vives instances de lady Canterville, avait consenti à conserver dans sa situation. Elle fit une profonde révérence à la famille quand on mit pied à terre, et dit avec un accent bizarre du bon vieux temps — Je vous souhaite la bienvenue à Canterville-Chase. On la suivit, en traversant un beau hall en style Tudor, jusque dans la bibliothèque, salle longue, vaste, qui se terminait par une vaste fenêtre à vitraux. Le thé les attendait. Ensuite, quand on se fut débarrassé des effets de voyage, on s'assit, on se mit à regarder autour de soi, pendant que Mrs Umney s'empressait. Tout à coup le regard de Mrs Otis tomba sur une tache d'un rouge foncé sur le parquet, juste à côté de la cheminée, et sans se rendre aucun compte de ses paroles, elle dit à Mrs Umney — Je crains qu'on n'ait répandu quelque chose à cet endroit. — Oui, madame, répondit Mrs Umney à voix basse. Du sang a été répandu à cet endroit. — C'est affreux ! s'écria Mrs Otis. Je ne veux pas de taches de sang dans un salon. Il faut enlever ça tout de suite. La vieille femme sourit, et de sa même voix basse, mystérieuse, elle répondit — C'est le sang de lady Eleonor de Canterville, qui a été tuée en cet endroit même par son propre mari, sir Simon de Canterville, en 1575. Sir Simon lui survécut neuf ans, et disparut soudain dans des circonstances très mystérieuses. Son corps ne fut jamais retrouvé, mais son âme coupable continue à hanter la maison. La tache de sang a été fort admirée des touristes et d'autres personnes, mais l'enlever… c'est impossible. — Tout ça, c'est des bêtises, s'écria Washington Otis. Le produit détachant, le nettoyeur incomparable du champion Pinkerton fera disparaître ça en un clin d'œil. Et avant que la gouvernante horrifiée eût pu intervenir, il s'était agenouillé, et frottait vivement le parquet avec un petit bâton d'une substance qui ressemblait à du cosmétique noir. Peu d'instants après, la tache avait disparu sans laisser aucune trace. — Je savais bien que le Pinkerton en aurait raison, s'écria-t-il d'un ton de triomphe, en promenant un regard circulaire sur la famille en admiration. Mais à peine avait-il prononcé ces mots qu'un éclair formidable illumina la pièce sombre, et qu'un terrible roulement de tonnerre mit tout le monde debout, excepté Mrs Umney, qui s'évanouit. — Quel affreux climat ! dit tranquillement le ministre, en allumant un long cigare. Je m'imagine que le pays des aïeux est tellement encombré de population, qu'il n'y a pas assez de beau temps pour tout le monde. J'ai toujours été d'avis que ce que les Anglais ont de mieux à faire, c'est d'émigrer. — Mon cher Hiram, s'écria Mrs Otis, que pouvons-nous faire d'une femme qui s'évanouit ? — Nous déduirons cela sur ses gages avec la casse, répondit le ministre. Après ça, elle ne s'évanouira plus. Et, en effet, Mrs Umney ne tarda pas à reprendre ses sens. Toutefois il était évident qu'elle était bouleversée de fond en comble ; et d'une voix austère, elle avertit Mrs Otis qu'elle eût à s'attendre à quelque ennui dans la maison. — J'ai vu de mes propres yeux, des choses… Monsieur, dit-elle, à faire dresser les cheveux sur la tête à un chrétien. Et pendant des nuits, et des nuits, je n'ai pu fermer l'œil, à cause des faits terribles qui se passent ici. Néanmoins Mrs Otis et sa femme certifièrent à la bonne femme, avec vivacité qu'ils n'avaient nulle peur des fantômes. La vieille gouvernante après avoir appelé la bénédiction de la Providence sur son nouveau maître et sa nouvelle maîtresse, et pris des arrangements pour qu'on augmentât ses gages, rentra chez elle en clopinant. Résumé du document "Le Portrait de Dorian Gray" est l'unique roman de Oscar Wilde, écrivain irlandais. Il a été publié en 1890 et révisé en 1891. Dramaturge et auteur d'essais, Wilde est également l'auteur du "Fantôme de Canterville" ou de la pièce de théâtre Salomé. L'auteur fut condamné à deux ans de travaux forcés pour homosexualité. La plainte avait été déposée par le père de son amant. Son roman fut d'ailleurs une évidence durant le procès, car il figure dans son œuvre des allusions homosexuelles. Après sa sortie de prison en 1897, il fait banqueroute et sa femme le quitte. Il s'exile alors en France puis rejoint son amant à Naples. Il s'éteint en 1900 à Paris. Sommaire Présentation de l'oeuvre Résumé de l'oeuvre Présentation des protagonistes Dorian Gray Basil Hallward Lord Henry Wotton Sybil Vane Thèmes abordés Jeunisme Esthétisme Hédonisme Morale Lien entre l'oeuvre et le thème Critique Présentation du passage chapitre 2, Monologue de Lord Henry à Dorian Gray Extraits [...] Le Portrait de Dorian Gray – Oscar Wilde 1890 I. Présentation de l'œuvre Édition LGF, le livre de poche de la collection Classiques » publiée en 1972 Le portrait de Dorian Gray est l'unique roman de Oscar Wilde, écrivain irlandais. Publié en 1890 et révisé en 1891. Dramaturge et auteur d'essais, Wilde est également l'auteur du Fantôme de Canterville ou de la pièce de théâtre Salomé. L'auteur fut condamné à deux ans de travaux forcés pour homosexualité. La plainte avait été déposée par le père de son amant. [...] [...] Oscar Wilde dénonce cette philosophie à travers les méfaits de Dorian Gray qui reste sans conséquence excepté quelques rumeurs grâce à son physique avantageux ou les dires de Lord Henry qui sont amoraux, mais que personne ne dénonce grâce à l'éloquence et l'influence de ce dernier. C. Hédonisme Système philosophique qui fait du plaisir le but de la vie. On retrouve ce thème notamment à travers deux personnages Lord Henry et Dorian Gray qui vivent dans le luxe et recherchent le plaisir sous toutes ses formes spectacle, repas, alcool, sexe Des plaisirs faciles et éphémères. Ils cherchent à s'entourer de belles personnes et de beaux objets. Il s'agit là de plaisirs non seulement physiques, mais également immatériels. D. [...] [...] Il s'agit du portrait du protagoniste Dorian Gray, un jeune homme aisé d'une extrême beauté juvénile. Lord Henry, fasciné par la beauté et le superficiel, est alors curieux de le rencontrer. Le peintre accepte et Harry engage alors une conversation sur la beauté éphémère et sur la jeunesse avec Dorian Gray. Le protagoniste est alors encore naïf et influençable, il écoute d'une oreille attentive Lord Henry qui le corrompt en lui disant qu'il lui est permis de tout faire grâce à sa jeunesse et sa beauté. [...] [...] Dorian Gray Dorian Gray est le personnage principal de l'œuvre. On pourrait le considérer comme un antihéros. Il est le fils d'une aristocrate et d'un soldat inconnu. Dorian Gray devient rapidement orphelin et grandit avec des valets et gouvernantes à son service. Il a une vie aisée. De plus, il fascine beaucoup de gens de la haute société grâce à son physique avantageux. Au début du roman, le protagoniste est présenté comme gentil presque candide et un peu timide. Son caractère change au fil de notre lecture due à l'influence de Lord Henry qui le pousse à commettre plusieurs vices et grâce à son vœu devenu réalité. [...] [...] Cependant nous nous rendons compte qu'il n'a pas réellement de remords, car il se donne la mort pour trouver une certaine paix intérieure et non pas parce qu'il a tué son ami. B. Basil Hallward Basil est un peintre et ami de Dorian. Souhaitant plus que tout immortaliser la beauté de ce dernier, il va le convaincre de poser pour lui. Il va connaître le succès principalement grâce au portrait qu'il va peindre de son ami. Hallward voit en Dorian une beauté universelle et simple, sans artifice. Contrairement à Lord Henry, Basil a des valeurs très ancrées, il est bon et ne vit pas réellement dans le péché. [...] Accueil > Ebooks > Ebooks gratuits > Romans & Nouvelles > Le Portrait de Monsieur Le Fantôme de Canterville ; Le Sphinx qui n'a pas de secret ; Le Modèle millionnaire ; Poèmes en prose ; L'Âme humaine sous le régime socialiste Lire un extrait Le Portrait de Monsieur Le Fantôme de Canterville ; Le Sphinx qui n'a pas de secret ; Le Modèle millionnaire ; Poèmes en prose ; L'Âme humaine sous le régime socialiste Résumé Détails Compatibilité Autres formats Dans ce portait», un homme explique à un autre l'origine d'un petit tableau en sa possession et évoque la passion d'un ancien ami pour l'énigme de Monsieur personnage mystérieux, destinataire des vers de Shakespeare dans ses Sonnets. Énigme à laquelle il prétendait avoir trouvé une solution... La seconde nouvelle est le très connu Fantôme de Canterville» une famille de riches américains achètent le château de Lord Canterville, malgré les mises en garde de ce dernier au sujet d'un effrayant fantôme qui sème la mort et la folie dans l'ancestrale demeure. Mais bien vite, tel est pris qui croyait prendre cette famille améicaine ne se laissera pas impressionner... Outre deux autres nouvelles - Le sphinx qui n'a pas de secret» et Le modèle millionaire» - ce livre vous propose six poèmes en prose et un texte - L'âme humaine sous le régime socialiste» - qui explique la pensée de l'auteur sur la question du socialisme et du communisme. Lire plusexpand_more Titre Le Portrait de Monsieur Le Fantôme de Canterville ; Le Sphinx qui n'a pas de secret ; Le Modèle millionnaire ; Poèmes en prose ; L'Âme humaine sous le régime socialiste EAN 5552003295457 Éditeur Ebooks libres et gratuits Date de parution 01/03/2005 Format ePub Poids du fichier 150 kb Protection Aucune L'ebook Le Portrait de Monsieur Le Fantôme de Canterville ; Le Sphinx qui n'a pas de secret ; Le Modèle millionnaire ; Poèmes en prose ; L'Âme humaine sous le régime socialiste est au format ePub check_circle Cet ebook est compatible pour une lecture sur application iOs et Android Vivlio. check_circle Cet ebook est compatible pour une lecture sur My Vivlio. check_circle Cet ebook est compatible pour une lecture sur le lecteur Vivlio. check_circle Cet ebook est compatible pour une lecture sur liseuse. 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